Στοίχοι: Bams. Différente.
On s'est construit tout un tas de reves,
c'est qu'un bref laps de temps,
la vie accorde une treve, je respire,
faut bien que je jouisse, j'en profite pour
conquerir, bientot viendra je jour et j'en creve
la bouche ouverte, je me vois deja giser a terre
suffocante, terrassee, surpassee, en manque d'air
Perdre ses espoirs, ne plus vouloir y croire,
je ne le souhaite pas meme au pire de mes freres noirs
Se reveiller depossedee, videe la sensation
de perdre pied, debousolee, comme giflee
Efrayee, plongee dans ce nouveau corps etranger
Mon etre est mis en peril, y a danger!
[Refrain] x2 :
Differente, je ne suis plus la meme que dans le temps
Ou j'etais folle, un rien frivole je n'ai plus le temps
De gemir, de faire ma tete de martyr
Brisee d'etre la risee de toute l'assemblee
Fut un temps, je croyais en l'homme, en somme,
j'avais omis le cote bestial du predateur que nous sommes.
J'ai du me tromper de notice,
oter le passage du post-scriptum,
et j'ai souffert un maximum.
Je m'etait faite un monde sans vice, candide,
j'experimentais une forme de suicide,
acide, ca m'a rendu lucide,
ma philosophie avait pris malgre moi quelques rides.
Differente, je ne suis plus la meme que dans le temps
Ou j'etais folle, un rien frivole je n'ai plus le temps
De gemir, au moindre coups bas
Plutot se dire que la vie est un combat
Que de croupir sous ces ?
Alors j'encaisse avec plus ou moins de mal
Et ce peu-importe les directs, les coups droits.
Certains nous disent que cela nous rend plus fort,
je crois juste que c'est nous rapprocher plus de la mort.
Differente, je sens plus les memes choses,
je vois plus les memes choses,
je ne suis plus la meme que dans le temps.
[Refrain]
C'est vrai que rien ne s'efface,
surtout pas le passe, passee par la,
tu sais bien de quoi je parle.
Trop lourd a porter, mon fardeau m'a retardee,
empeche d'evoluer ou d'avancer.
Je m'etais laisser aller, terrasser, clouer au sol,
La si do re m'a charcutee, je suis transformee
Je sais que je dois lutter pour ne plus plier
Pour que flamboye mon education si cher payee
Y'en a qui veulent ma peau,
qui complotent dans mon dos,
mais ils sous-estiment le pouvoir de mes mots,
de ma haute capacite a encaisser les coups donnes,
tous les paumes que j'ai pu croiser,
est-ce qu'apres rescaper les miens distances
me prendront pour preuve qu'on surmonte les epreuves?
[Refrain]
c'est qu'un bref laps de temps,
la vie accorde une treve, je respire,
faut bien que je jouisse, j'en profite pour
conquerir, bientot viendra je jour et j'en creve
la bouche ouverte, je me vois deja giser a terre
suffocante, terrassee, surpassee, en manque d'air
Perdre ses espoirs, ne plus vouloir y croire,
je ne le souhaite pas meme au pire de mes freres noirs
Se reveiller depossedee, videe la sensation
de perdre pied, debousolee, comme giflee
Efrayee, plongee dans ce nouveau corps etranger
Mon etre est mis en peril, y a danger!
[Refrain] x2 :
Differente, je ne suis plus la meme que dans le temps
Ou j'etais folle, un rien frivole je n'ai plus le temps
De gemir, de faire ma tete de martyr
Brisee d'etre la risee de toute l'assemblee
Fut un temps, je croyais en l'homme, en somme,
j'avais omis le cote bestial du predateur que nous sommes.
J'ai du me tromper de notice,
oter le passage du post-scriptum,
et j'ai souffert un maximum.
Je m'etait faite un monde sans vice, candide,
j'experimentais une forme de suicide,
acide, ca m'a rendu lucide,
ma philosophie avait pris malgre moi quelques rides.
Differente, je ne suis plus la meme que dans le temps
Ou j'etais folle, un rien frivole je n'ai plus le temps
De gemir, au moindre coups bas
Plutot se dire que la vie est un combat
Que de croupir sous ces ?
Alors j'encaisse avec plus ou moins de mal
Et ce peu-importe les directs, les coups droits.
Certains nous disent que cela nous rend plus fort,
je crois juste que c'est nous rapprocher plus de la mort.
Differente, je sens plus les memes choses,
je vois plus les memes choses,
je ne suis plus la meme que dans le temps.
[Refrain]
C'est vrai que rien ne s'efface,
surtout pas le passe, passee par la,
tu sais bien de quoi je parle.
Trop lourd a porter, mon fardeau m'a retardee,
empeche d'evoluer ou d'avancer.
Je m'etais laisser aller, terrasser, clouer au sol,
La si do re m'a charcutee, je suis transformee
Je sais que je dois lutter pour ne plus plier
Pour que flamboye mon education si cher payee
Y'en a qui veulent ma peau,
qui complotent dans mon dos,
mais ils sous-estiment le pouvoir de mes mots,
de ma haute capacite a encaisser les coups donnes,
tous les paumes que j'ai pu croiser,
est-ce qu'apres rescaper les miens distances
me prendront pour preuve qu'on surmonte les epreuves?
[Refrain]