Στοίχοι: Francis Cabrel. Cabrel Public. Ma Place Dans Le Trafic.
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Le jour se leve a peine,
Je suis deja debout,
Et deja je promene une larme sur mes joues.
Le cafe qui fume,
L'ascenseur qui m'attend,
Et le moteur que j'allume,
M'aident a prendre lentement,
Prendre ma place dans le trafic,
A prendre ma place dans le trafic.
J'aimerais que quelqu'un vienne et me delivre,
Mais celui que je viens de choisir
M'a donne juste assez pour survivre,
Et trop peu pour m'enfuir.
Je reste prisonnier de mes promesses
A tous ces marchands de tapis
Qui me font dormir sur la laine epaisse
Et qui m'obligent au bout de chaque nuit,
A prendre ma place dans le trafic,
A prendre ma place dans le trafic.
Et quand je veux parler a personne,
Quand j'ai le blues,
Je vais decrocher mon telephone,
Je fais le 12,
Je suis un mutant, un nouvel homme.
Je ne possede meme pas mes desirs,
Je me parfume aux oxydes de carbone,
Et j'ai peur de savoir comment je vais finir.
Je regarde s'eloigner les rebelles,
Et je me sens a l'etroit dans ma peau,
Mais j'ai jure sur la loi des echelles,
Si un jour je veux mourir tout en haut,
Il faut que je prenne ma place dans le trafic,
Que je prenne ma place dans le trafic.
Et quand je veux parler a personne,
Quand j'ai le blues,
Je vais debrancher mon telephone,
Et je fais le 12.
Parce que quoique je dise,
Quoique je fasse,
Il faut que passent les voitures noires.
Je suis un mutant, un nouvel homme,
Je ne possede meme pas mes desirs,
Je me parfume aux oxydes de carbone,
Et j'ai peur de savoir comment je vais finir.
Il y a tellement de choses graves
Qui se passent dans mes rues,
Que deja mes enfants savent
Qu'il faudra qu'ils s'habituent,
A prendre ma place dans le trafic,
A prendre ma place dans le trafic,
Ma place dans le trafic.
Le jour se leve a peine,
Je suis deja debout,
Et deja je promene une larme sur mes joues.
Le cafe qui fume,
L'ascenseur qui m'attend,
Et le moteur que j'allume,
M'aident a prendre lentement,
Prendre ma place dans le trafic,
A prendre ma place dans le trafic.
J'aimerais que quelqu'un vienne et me delivre,
Mais celui que je viens de choisir
M'a donne juste assez pour survivre,
Et trop peu pour m'enfuir.
Je reste prisonnier de mes promesses
A tous ces marchands de tapis
Qui me font dormir sur la laine epaisse
Et qui m'obligent au bout de chaque nuit,
A prendre ma place dans le trafic,
A prendre ma place dans le trafic.
Et quand je veux parler a personne,
Quand j'ai le blues,
Je vais decrocher mon telephone,
Je fais le 12,
Je suis un mutant, un nouvel homme.
Je ne possede meme pas mes desirs,
Je me parfume aux oxydes de carbone,
Et j'ai peur de savoir comment je vais finir.
Je regarde s'eloigner les rebelles,
Et je me sens a l'etroit dans ma peau,
Mais j'ai jure sur la loi des echelles,
Si un jour je veux mourir tout en haut,
Il faut que je prenne ma place dans le trafic,
Que je prenne ma place dans le trafic.
Et quand je veux parler a personne,
Quand j'ai le blues,
Je vais debrancher mon telephone,
Et je fais le 12.
Parce que quoique je dise,
Quoique je fasse,
Il faut que passent les voitures noires.
Je suis un mutant, un nouvel homme,
Je ne possede meme pas mes desirs,
Je me parfume aux oxydes de carbone,
Et j'ai peur de savoir comment je vais finir.
Il y a tellement de choses graves
Qui se passent dans mes rues,
Que deja mes enfants savent
Qu'il faudra qu'ils s'habituent,
A prendre ma place dans le trafic,
A prendre ma place dans le trafic,
Ma place dans le trafic.
Francis Cabrel
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