Στοίχοι: Francis Cabrel. Carte Postale. Tu Es Toujours La Même.
:
Tu es toujours la meme
Tu as toujours dans les yeux
Un peu de nos folies anciennes
Quelques braises d'un ancien feu
Et meme si ce feu est mort
Quelque chose y brule encore
Tu es toujours la meme
A croire que le temps s'eternise
Tu es toujours mon plus beau poeme
Celui que je ne veux pas qu'on lise
Et meme si ces mots sont morts
Quelque chose y brule encore
C'est peut-etre
Que ma tete dort encore
Au milieu de tes bras
C'est sans doute
Que ma route passe
Juste a cote de toi
La pretresse gitane l'avait dit
Rien n'est jamais fini
Elle voit mes reves avec tes reves autour
T'es la meme toujours
La meme toujours
Meme les autres se souviennent
Cette vie qu'on vivait tout droit
Il suffit qu'ils en parlent ? peine
J'ai des gouttes de pluie sur les bras
Cet orage est passe si fort
Que les eclairs brillent encore
Au fond des ruelles secretes
Les pierres ont garde nos murmures
Entre les mendiants qui regrettent
Et les chiens qui rasent les murs
Chaque fois qu'un mot s'evapore
Il en revient d'autres plus forts
C'est peut-etre
Que ma tete dort encore
Au milieu de tes bras
C'est sans doute
Que ma route passe
Juste a cote de toi
La pretresse gitane l'avait dit
Rien n'est jamais fini
Elle voit mes reves avec tes reves autour
T'es la meme toujours
La meme toujours
Tu es toujours la meme
Tu as toujours dans les yeux
Un peu de nos folies anciennes
Quelques braises d'un ancien feu
Et meme si ce feu est mort
Quelque chose y brule encore
Tu es toujours la meme
A croire que le temps s'eternise
Tu es toujours mon plus beau poeme
Celui que je ne veux pas qu'on lise
Et meme si ces mots sont morts
Quelque chose y brule encore
C'est peut-etre
Que ma tete dort encore
Au milieu de tes bras
C'est sans doute
Que ma route passe
Juste a cote de toi
La pretresse gitane l'avait dit
Rien n'est jamais fini
Elle voit mes reves avec tes reves autour
T'es la meme toujours
La meme toujours
Meme les autres se souviennent
Cette vie qu'on vivait tout droit
Il suffit qu'ils en parlent ? peine
J'ai des gouttes de pluie sur les bras
Cet orage est passe si fort
Que les eclairs brillent encore
Au fond des ruelles secretes
Les pierres ont garde nos murmures
Entre les mendiants qui regrettent
Et les chiens qui rasent les murs
Chaque fois qu'un mot s'evapore
Il en revient d'autres plus forts
C'est peut-etre
Que ma tete dort encore
Au milieu de tes bras
C'est sans doute
Que ma route passe
Juste a cote de toi
La pretresse gitane l'avait dit
Rien n'est jamais fini
Elle voit mes reves avec tes reves autour
T'es la meme toujours
La meme toujours
Francis Cabrel
Carte Postale