Στοίχοι: Passi. L'engreneur.
Je suis l'engreneur, ma tete est mise a prix,
t'as compris ! Prie pour celui qui s'approprie les esprits.
Mon cri, dans les quartiers ou les kisdes ne peuvent casser.
Dans ces cites, j'aime etre cite, felicite et recite
a fond dans les BMW, dans les bus, metro, les walkmans,
comme un cobra, j'pe-ra, que-bra, les esprits je shouara.
J'excelle pour ma clientele, tel un boss de cartel,
je fixe ton fils sous decibels, j'y fous la rapyphilis.
Il consomme, je l'informe, moi PASSI le transforme.
Mon album est ma bonbonne, comme un virus sans serum,
en somme je suis l'homme a conserver dans tous les museums.
Hors norme, tel un raptore, les mots, je les mords et les tords,
les ressors plus fort et sans efforts les fous dans ton corps.
Je te perfore de metaphores, allez ! Appelle les renforts.
Silence, agneau ! J'attaque habile
comme HANNIBAL au cerveau,
tu m'entendras / niquer la rhala / le dawa dans ta radio.
Refrain :
Je seme ma gangrene, plante mes mots dans les veines,
micro en main dans l'arene. / Prends le mic pour la pagaille /.
J'enchaine, j'engrene, de la plus saine a la mauvaise graine
et.../ Prends le mic pour la pagaille /.
Malgre mon absence au congres, je peux exposer, denigrer.
Pare pour engrener, le negre est en progres.
Pas de simagrees, froisser, je fais ca de gre.
Je vais emigrer dans les esprits,
comme un rhum aigre et de haut degre.
Deja gamin, quand sur les gosses je posais le grappin,
j'organisais la guerilla, au plus galopin, je donnais un gain,
depart de la bagarre, je poussais au Coup de Trafalgar.
Comme un demon dans l'Olympe,
je grimpe et seme ma gangrene.
/"Viens avec moi dans le jardin du diable,
endroit dans lequel tout est acceptable..."/
Dans cette garce de vie je n'ai pas gueri, j'ai gravi, j'ai grandi
avec les coups de crasse, et grace au rap je rends grace.
Je pousse au guet-apens, Pan ! Et au gain sans disgrace.
Amer, grugeur, grossiste, j'aime flirter avec l'angoisse,
grimace, gri-gri, j'embrasse, sur mon passage se brise la glace.
Je passe de l'orgasme au spasme, mes paroles agacent.
Refrain
Je prends de l'ampleur, je suis ample ;
mon temple est fait de samples.
Je suis un exemple, beaucoup me contemplent,
m'interpretent et veulent en etre.
Je vais transmettre ce gout du direct, l'art de mettre,
j'injecte le spectre.
Mon public respecte que me haissent les teur-inspec.
Mais personne n'arrete un mec correct, qui eduque des tetes.
Je resume : je suis la grippe, t'as un vaccin, tu m'allumes,
j'exhume, m'en accoutume, reviens avec la brume, j'enrhume.
Je fous le dawa, je prends du poids et la cible est sur moi.
Je ne penche, ni ne flanche, comme d'hab' j'ai le manche.
Quand la potence s'enclenche, l'arrogance me branche
sur volts, ma gueule est mon colt, mon skeud je mijote.
Je lance le missile, grimpe ma cote,
les gens achetent, donc votent.
Patriote, ma voix pilote, le peuple j'emporte,
dans le pays je grignote, comme un virus dans une culotte.
Je suis l'engreneur, ma tete est mise a prix,
t'as compris ? Prie pour celui qui s'approprie les esprits !
Refrain
LA FRANCE AU RAP FRANCAIS !
t'as compris ! Prie pour celui qui s'approprie les esprits.
Mon cri, dans les quartiers ou les kisdes ne peuvent casser.
Dans ces cites, j'aime etre cite, felicite et recite
a fond dans les BMW, dans les bus, metro, les walkmans,
comme un cobra, j'pe-ra, que-bra, les esprits je shouara.
J'excelle pour ma clientele, tel un boss de cartel,
je fixe ton fils sous decibels, j'y fous la rapyphilis.
Il consomme, je l'informe, moi PASSI le transforme.
Mon album est ma bonbonne, comme un virus sans serum,
en somme je suis l'homme a conserver dans tous les museums.
Hors norme, tel un raptore, les mots, je les mords et les tords,
les ressors plus fort et sans efforts les fous dans ton corps.
Je te perfore de metaphores, allez ! Appelle les renforts.
Silence, agneau ! J'attaque habile
comme HANNIBAL au cerveau,
tu m'entendras / niquer la rhala / le dawa dans ta radio.
Refrain :
Je seme ma gangrene, plante mes mots dans les veines,
micro en main dans l'arene. / Prends le mic pour la pagaille /.
J'enchaine, j'engrene, de la plus saine a la mauvaise graine
et.../ Prends le mic pour la pagaille /.
Malgre mon absence au congres, je peux exposer, denigrer.
Pare pour engrener, le negre est en progres.
Pas de simagrees, froisser, je fais ca de gre.
Je vais emigrer dans les esprits,
comme un rhum aigre et de haut degre.
Deja gamin, quand sur les gosses je posais le grappin,
j'organisais la guerilla, au plus galopin, je donnais un gain,
depart de la bagarre, je poussais au Coup de Trafalgar.
Comme un demon dans l'Olympe,
je grimpe et seme ma gangrene.
/"Viens avec moi dans le jardin du diable,
endroit dans lequel tout est acceptable..."/
Dans cette garce de vie je n'ai pas gueri, j'ai gravi, j'ai grandi
avec les coups de crasse, et grace au rap je rends grace.
Je pousse au guet-apens, Pan ! Et au gain sans disgrace.
Amer, grugeur, grossiste, j'aime flirter avec l'angoisse,
grimace, gri-gri, j'embrasse, sur mon passage se brise la glace.
Je passe de l'orgasme au spasme, mes paroles agacent.
Refrain
Je prends de l'ampleur, je suis ample ;
mon temple est fait de samples.
Je suis un exemple, beaucoup me contemplent,
m'interpretent et veulent en etre.
Je vais transmettre ce gout du direct, l'art de mettre,
j'injecte le spectre.
Mon public respecte que me haissent les teur-inspec.
Mais personne n'arrete un mec correct, qui eduque des tetes.
Je resume : je suis la grippe, t'as un vaccin, tu m'allumes,
j'exhume, m'en accoutume, reviens avec la brume, j'enrhume.
Je fous le dawa, je prends du poids et la cible est sur moi.
Je ne penche, ni ne flanche, comme d'hab' j'ai le manche.
Quand la potence s'enclenche, l'arrogance me branche
sur volts, ma gueule est mon colt, mon skeud je mijote.
Je lance le missile, grimpe ma cote,
les gens achetent, donc votent.
Patriote, ma voix pilote, le peuple j'emporte,
dans le pays je grignote, comme un virus dans une culotte.
Je suis l'engreneur, ma tete est mise a prix,
t'as compris ? Prie pour celui qui s'approprie les esprits !
Refrain
LA FRANCE AU RAP FRANCAIS !