Στοίχοι: Edith Piaf. Otras Canciones. Traqué.
:
Voyez cet homme qui court, qui court
Parmi la ville et les avenues.
Voyez cet homme qui court, qui court
Parmi la ville, a c?ur perdu.
Mais qu'a-t-il fait ?
A-t-il vole ?
A-t-il tue ?
Nul ne sait, nul ne sait, nul ne sait...
Est-il traque
Par son passe
Qui court apres ?
Moi je sais, moi je sais, moi je sais...
Il court, il court en bousculant
Sur son passage meme les enfants
Et toute la ville et tous les gens
Lui montrent le poing en passant.
Voyez cet homme qui court, qui court
Parmi les rues et les avenues.
Voyez cet homme qui court, qui court
Parmi la ville, a c?ur perdu.
Ce qu'il a fait :
Il a tue...
Pour qui ? Pourquoi ?
Moi je sais, moi je sais, moi je sais...
Il est traque
Et c'est chez moi
Qu'on est venu le chercher, le chercher, le chercher...
Sa seule chance est de partir
Et, comme un fou, il va s'enfuir.
Jusqu'a la fin,
Il va courir.
Peut-etre bien
Jusqu'a mourir...
Jusqu'au grand fleuve
Qui coule la-bas,
Jouant sa vie a pile ou face,
Et puis, mon Dieu, que le temps passe
Mais cette histoire... ne regarde que moi...
Que moi...
Que moi...
Que moi...
Que moi...
Voyez cet homme qui court, qui court
Parmi la ville et les avenues.
Voyez cet homme qui court, qui court
Parmi la ville, a c?ur perdu.
Mais qu'a-t-il fait ?
A-t-il vole ?
A-t-il tue ?
Nul ne sait, nul ne sait, nul ne sait...
Est-il traque
Par son passe
Qui court apres ?
Moi je sais, moi je sais, moi je sais...
Il court, il court en bousculant
Sur son passage meme les enfants
Et toute la ville et tous les gens
Lui montrent le poing en passant.
Voyez cet homme qui court, qui court
Parmi les rues et les avenues.
Voyez cet homme qui court, qui court
Parmi la ville, a c?ur perdu.
Ce qu'il a fait :
Il a tue...
Pour qui ? Pourquoi ?
Moi je sais, moi je sais, moi je sais...
Il est traque
Et c'est chez moi
Qu'on est venu le chercher, le chercher, le chercher...
Sa seule chance est de partir
Et, comme un fou, il va s'enfuir.
Jusqu'a la fin,
Il va courir.
Peut-etre bien
Jusqu'a mourir...
Jusqu'au grand fleuve
Qui coule la-bas,
Jouant sa vie a pile ou face,
Et puis, mon Dieu, que le temps passe
Mais cette histoire... ne regarde que moi...
Que moi...
Que moi...
Que moi...
Que moi...