Στοίχοι: Da Silva. Décembre En Eté. Les Loges De La Colère.
Tu ne vois pas comme tu t'emportes,
Tu t'emportes c'est n'importe quoi,
Ouais mais moi j'prefere la colere, la colere,
Emoi, agitation, agite,
S'agit-il de s'assagir ? Et de vivre, a moitie, a moitie enterre
On a le coeur si leger,
Et la tete, a l'envers,
On est tellement de la fete que l'on se verse, a terre,
On reprendra d'la vie, et sans jamais se taire on vous r'servira d'la colere a la place du mepris
A bout de souffle au bord de l'eau,
Juste avant l'orage,
J'voudrais t'montrer comme ils sont beaux comme ils sont beaux mes sentiments,
Mais pas facile d'etre sage, mes poumons pleins de rage
Tu disais comme tu t'emportes,
Tu t'emportes c'est n'importe quoi,
J'te repondais toujours,
La colere, c'est moi,
J'voudrais t'montrer comme ils sont beaux, comme ils sont beaux mes sentiments,
Et toujours, encore maintenant je tape du pied quand mon coeur saigne
A bout de souffle au bord de l'eau,
Juste avant l'orage,
J'voudrais t'montrer comme ils sont beaux, comme ils sont beaux mes sentiments,
On ne croit plus a aucunes promesses,
Et apres, rien ne sera plus comme avant,
Rien ne sera plus comme avant,
A bout de souffle au bord de l'eau,
Juste avant l'orage...
(Merci a audrey pour cettes paroles)
Décembre En Eté